Guide complet pour améliorer son référencement sur Google quand on est un éducateur canin
Vous êtes éducateur canin et vous souhaitez améliorer votre référencement sur Google ? Il faut l’admettre, c’est un peu le nerf de la guerre. On démarre une nouvelle activité et pour pouvoir en vivre, il faut être visible. Mais encore faut-il y parvenir. Vous pouvez désormais laisser cette appréhension derrière vous. Découvrez sans plus attendre nos astuces dans cet article sous forme de guide complet.
1. C’est quoi le référencement ?
Avant de commencer, il est important que tout le monde parte avec les mêmes bases. Voici donc une première partie théorique.
Le référencement est généralement décomposé en deux parties (même si en réalité, il en existe davantage). D’un côté, le référencement naturel appelé aussi SEO et de l’autre le référencement payant appelé SEA.
Pour cet article, nous allons parler essentiellement du référencement naturel. Il peut être décrit comme l’ensemble des bonnes pratiques pour bien se positionner sur les moteurs de recherche. Attention de ne pas confondre indexation et positionnement. Le premier est votre présence sur les moteurs de recherche, le second est votre classement.
1.1 Comment Google fait-il pour me positionner ?
Le SEO repose sur 3 piliers : le contenu, la popularité et la technique. Google (comme les autres moteurs de recherche) va donc se focaliser sur ces critères pour classer votre site web.
Concrètement, que devez-vous retenir de ces piliers ? Grosso modo, votre contenu doit être qualitatif et correctement construit, des sites doivent pointer vers le vôtre, enfin votre site internet doit être rapide, sans erreur et faciliter la compréhension de Google.
1.2 Combien de temps cela prend-il pour être bien référencé ?
Le référencement naturel peut être très long. Tout comme il peut être très rapide ! Par exemple, pour La patte de l’influence, il m’est arrivé très régulièrement d’être positionnée en première page au bout de 24 h. Seulement, ce n’est pas systématique et cela dépend de nombreux facteurs. Parmi eux, les fameux piliers vus précédemment.
L’ancienneté de votre site internet, sa pertinence (au vu de sa popularité) et l’expérience utilisateur qu’il offre (au travers du pilier technique notamment) peuvent considérablement affecter la durée pour être bien référencé. Cela peut prendre plusieurs mois, selon les cas.
À noter que rien n’est jamais figé dans le marbre. Les liens cassés peuvent se former au fil du temps, les images peuvent ne plus s’afficher, etc. Cela demande donc un check-up régulier.
2. Améliorer son référencement sur Google : les idées reçues
Bien entendu, comme dans tout domaine, il y a de nombreuses idées reçues dans le référencement naturel. Améliorer son référencement sur Google implique de les connaître.
2.1 Écrire uniquement pour les robots
Vouloir optimiser ses contenus web (pages web, articles de blogs, etc.) c’est bien, mais cela ne doit pas être une finalité en soi. Vous devez toujours en premier lieu écrire pour votre lectorat.
Imaginez seulement être super bien référencé mais, à peine rendu sur votre page web, l’utilisateur quitte votre site, car considéré comme non qualitatif. Vous augmentez considérablement votre taux de rebond et c’est un signal très négatif.
2.2 Répéter un maximum son mot-clef
Lorsque l’on écrit un contenu web, il faut avoir en tête un mot-clef. Mais faut-il le répéter à outrance ? Non, bien sûr que non. Comme nous l’avons dit, il faut que cela reste naturel pour votre lectorat.
De plus, insérer trop de fois votre mot-clef reviendrait à spammer, ce qui est pénalisé par les moteurs de recherche. La bonne astuce : insérer votre mot-clef naturellement et proportionnellement à la longueur de votre page ou article.
2.3 Cacher ses mots-clefs
C’est une idée reçue qui revient fréquemment. Nous allons créer des pages ou articles de blog puis insérer une liste de mots-clefs. Cette liste de mots-clefs sera cachée, généralement à l’aide d’une couleur qui rendra son contenu invisible.
C’est quelque chose qui pouvait fonctionner autrefois mais très déconseillé aujourd’hui. Les robots des moteurs de recherche s’améliorent, deviennent de plus en plus intelligents et pénalisent cette pratique.
3. Trouver les bons mots-clefs pour son activité d’éducateur canin
Allez, c’est parti, maintenant que vous avez les bases, nous allons pouvoir rentrer dans le vif du sujet. Améliorer son référencement quand on est un éducateur canin implique de savoir comment trouver les bons mots-clefs.
3.1 Une page = un mot-clef
À retenir, et c’est primordial, 1 page = 1 mot-clef. C’est la même chose pour les articles. Rien ne sert de spammer, voire de dupliquer du contenu. Vous risqueriez d’être pénalisé, et ce n’est certainement pas l’objectif de cet article.
3.2 Les outils pour trouver ses mots-clefs
Pour trouver vos mots-clefs, il vous faut vous interroger sur le comportement de navigation des utilisateurs. Voici quelques questions types à se poser :
- Que va taper l’utilisateur pour tomber sur ma page ?
- Que s’attend-il à consommer ?
- Est-il dans une démarche transactionnelle ou informative ?
- Quelles sont les questions que se pose l’utilisateur ?
3.2.1 Google
Une fois ces questions bien en tête, vous pouvez vous aider d’outils supplémentaires. En premier lieu, Google est votre ami (comme souvent, finalement).
Lorsque vous commencez à taper votre requête sur Google, celui-ci vous propose des prédictions. Elles sont précieuses car elles reflètent les recherches les plus fréquentes réalisées par les utilisateurs. Vous pouvez vous en inspirer.
Vous pouvez également appuyer sur “entrer” pour pouvoir visualiser le type de contenus qui ressort sur cette thématique (et donc vous aligner avec). C’est aussi judicieux pour consulter les “Autres questions posées” qui pourront vous aider à construire votre page/ article.
3.2.2 Answer The Public
Answer the Public est un outil que j’utilise beaucoup. Il permet de taper un mot-clef et de connaître les différentes requêtes que tapent les utilisateurs sur les moteurs de recherche. C’est super pour s’inspirer, connaître les questions que se posent les utilisateurs et trouver une ligne directrice pour écrire ses contenus.
3.2.3 Quora
Toujours dans la même idée de connaître les questions que se posent les utilisateurs, il existe Quora. Quora fonctionne comme un forum, où chacun peut poser des questions. Cela nécessite une inscription.
4. La structure de votre page
Créer du contenu pour une page web ou un article de blog demande une structure précise. Le SEO a ses codes, et certaines choses ne pardonnent pas.
4.1 Les titres et sous-titres
Aussi appelés Hn, les titres et sous-titres sont indispensables pour structurer votre texte, mais aussi donner des repères aux robots des moteurs de recherche.
Le titre H1 est le titre de votre page, de votre article. C’est le grand titre, il doit y en avoir qu’un seul. Ensuite, vient les sous-titres. Les plus communément utilisés sont les H2 et les H3. Il peut y en avoir plusieurs, mais ceci doit rester dans une logique de hiérarchie.
Prenons un exemple :
Titre de l’article : “Comment faire marcher mon chien en laisse ?” (H1)
Sous-titre : “Quand commencer l’apprentissage ?” (H2)
Sous-titre : “Comment s’y prendre ?” (H2)
Sous-sous-titre : “Les accessoires à utiliser” (H3)
Sous-sous-titre : “Le rôle de la voix” (H3)
Sous-titre : “Les idées reçues” (H2)
4.2 Les balises meta
Si vous utilisez WordPress, je vous recommande d’installer le plugin Yoast SEO. Nous allons devoir configurer les balises meta et cette extension aide beaucoup.
Nous allons distinguer deux balises : celles appelées meta title et celles appelées meta description.
Dans cette image, “Comment apprendre à un chiot à marcher en laisse” est la balise title. Elle doit être légèrement différente du titre H1 de votre page/ article.
En dessous, c’est la balise meta description. Tout du moins, c’est censé l’être. Contrairement aux idées reçues, Google peut choisir d’afficher l’extrait d’article qu’il souhaite de manière à répondre au mieux à la requête utilisateur. Néanmoins, il reste important de la renseigner.
4.3 Les listes
Les listes sont très appréciées dans vos contenus. Elles permettent de faciliter la lecture et sont une bonne idée pour améliorer votre référencement sur Google en tant qu’éducateur canin. N’hésitez pas à les utiliser.
4.4 Les liens
Il est indispensable de faire du maillage. Cela permet de montrer à Google que vous jouez le jeu du SEO. C’est fortement apprécié. On distingue les liens internes (qui pointent vers d’autres pages de votre site internet) des liens externes (qui pointent vers d’autres sites internet). Il faut en mettre sur toutes vos pages et articles.
5. L’optimisation de l’utilisation des images
Souvent oubliées, les images doivent aussi être optimisées. Des images trop lourdes ralentissent votre site internet.
5.1 Le nom du fichier
Le nom du fichier doit toujours être renommé. Il ne faut pas laisser des suites de nombre ou de lettres comme le ferait un appareil photo lorsque vous téléchargez des images. Renommez vos images judicieusement avec deux ou trois mots-clefs.
5.2 Le titre de l’image
Le titre de l’image doit aussi être changé, c’est quelque chose de facilement réalisable sous WordPress dans votre bibliothèque médias. Choisissez un titre qui décrit au mieux votre image. Il ne doit pas être trop long. À noter qu’il sera visible par vos lecteurs.
5.3 La balise ALT de l’image
La balise ALT (pour alternative) peut aussi être renseignée directement sur WordPress. Elle est indispensable. Elle va s’afficher à la place de votre image si celle-ci ne s’affiche pas. Elle peut aussi être lue par des systèmes spécialisés pour aider les personnes malvoyantes, par exemple.
5.4 Le format de l’image
Enfin, nous avons le format de l’image. De manière générale, choisissez toujours le format JPEG. Si vous souhaitez de la transparence, tournez-vous vers le PNG.
Avant d’importer vos images, compressez-les. De nombreux sites internet proposent cette fonctionnalité gratuitement. Vous pouvez aussi installer une extension WordPress pour transformer toutes vos images au format WEBP (fortement recommandé).
6. La popularité de votre site internet
Si vous avez déjà fait tout ça, c’est que votre site internet commence à être correctement optimisé. Cependant, il y a un autre pilier à ne pas négliger : celui de la popularité.
Disons que plus, il y a de sites internet qui parlent du vôtre, plus il sera considéré comme pertinent et mis en avant. Concrètement, comment ça marche ? C’est simple, il suffit qu’un site B écrive une page ou un article en insérant un lien vers mon site A. Bien entendu, cela marchera mieux si le site B est déjà bien apprécié des moteurs de recherche.
Plusieurs astuces pour cela : rédiger des articles invités dans votre niche, être actif sur Pinterest ou procéder à l’achat de liens. Pour ce dernier point, de nombreuses plateformes proposent ce service, mais il faut le faire judicieusement. Si tout le monde le fait, cela peut néanmoins être pénalisé par Google.
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